Le projet Pock’up, de quoi s’agit-il ?
Pock’up est un verre en silicone pliable réutilisable, facile à transporter et personnalisable. Parfait pour des événements plus éco-friendly !
Ci-dessous, l’interview d’Olivier Marchant, l’un des deux fondateurs de ce projet.
Comment vous êtes-vous rencontrés avec Thomas et d’où vient Pock’up ?
Via un ami en commun. On était dans la même école auparavant, mais on ne se connaissait que de vue. C’est le projet qui nous a réuni.
J’avais participé au concours YEP avec la HEAJ et nos enseignants nous avaient encouragés à continuer le projet, mais les autres membres de l’équipe n’était pas partants. Comme je savais que Thomas avait déjà essayé de lancer son propre projet, je me suis dit qu’il avait les compétences nécessaires.
On a alors énormément retravaillé le projet de départ, et on a décidé d’axer sur les festivals, les ASBL… Afin d’apporter un coup de pouce écologique et que ça soit en même temps plus rentable.
Si tu devais resumer Pock’up en trois mots ?
Ce n’est pas facile ! Mais je dirais espoir, écologie et entrepreneuriat.
As-tu fait appel à la HEAJ pour recevoir de l’aide dans ton projet ?
La HEAJ m’a encouragé à entrer dans l’incubateur Linkube. Ensuite, on a eu un peu d’aide de certains enseignants, principalement quand on a décidé de lancer le projet public. Avant cela, je n’ai pas vraiment fait appel à l’aide de la HEAJ.
Vous venez tous les deux d’écoles différentes. Tu dirais que c’est plutôt un avantage ou un inconvénient ?
C’est un avantage. Du coup on ne se voyait pas très souvent en personne, sauf quand c’était vraiment important. Mais je pense quand même que c’est un avantage. On a des compétences différentes grâce à cela et cela nous permet de nous compléter. On a aussi deux réseaux, ceux de nos écoles respectives.
Se lancer dans son propre projet, n’est-ce pas effrayant ?
Je suis plutôt fonceur, je n’aime pas faire comme les autres et j’aime le challenge. Je trouve que c’est plutôt excitant qu’effrayant. Et, que ça fonctionne ou non, on apprend de nouvelles choses ! On apprend de certaines erreurs. En plus, je pense que c’est un atout pour le CV car les employeurs peuvent voir qu’on se bouge.
As-tu un conseil pour les étudiants qui souhaitent eux aussi se lancer ?
Le mot clé : la discipline. Il y a aussi la motivation, mais généralement la motivation les élèves l’ont, c’est surtout la discipline qui est importante. Il faut organiser sa journée, se mettre des objectifs, se lever plus tôt et se coucher plus tôt. Mais au final c’est que du bonheur, on se sent mieux.
Que devient Pock’up ?
Pour l’instant le projet est en stand-by. Pour ma part, j’ai laissé Pock’up sur le côté car je voudrais me recentrer sur mes nouveaux projets. Thomas par contre va continuer et compte relancer le projet, avec une nouvelle méthode.
Tu peux nous en dire plus sur ces nouveaux projets ?
Je compte reprendre ma chaine Youtube « VeloVSWild », y ajouter du contenu et ajouter un site web ainsi qu’une boutique.
Merci Olivier pour ton témoignage !
Vous voulez en savoir plus sur Pock’up ? C’est par ici !
Vous aussi vous êtes un ancien de la HEAJ et vous souhaitez témoigner ?
Vous pouvez remplir ce sondage en ligne : https://fr.surveymonkey.com/r/5RTFJWY ou me contacter par mail via laura.elen@heaj.be pour une interview par mail, par téléphone ou en personne.