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Résumé par Julien Nicaise, administrateur de l’ARES :
1/ Pour le 27 avril 2020 au + tard, tous les étudiants doivent connaitre la date de leurs examens, le contenu de chaque évaluation, adapté en fonction des cours qui auront pu être suivis en présentiel et/ou à distance, et les
conditions pratiques de l’évaluation
2/ Les établissements peuvent poursuivre le 2ème quadrimestre jusqu’au 10 juillet au + tard. Cette option doit prioritairement bénéficier aux étudiants en années diplômantes. L’ajustement du calendrier doit se faire en tenant compte du droit au congé des enseignants (7 semaines).
3/ Une aide directe exceptionnelle de 2.285.000 euros est prévue pour aider les étudiants impactés par la crise sanitaire. Ce montant viendra s’ajouter aux subsides sociaux déjà accordés par les établissements d’enseignement supérieur.
4/ Possibilité de reporter une partie des activités pédagogiques – cours, stages, travaux, mémoires – sur le 3ème quadrimestre au bénéfice des étudiants. Cette disposition ne pourra être utilisée qu’en dernier recours, et en priorité pour les années diplômantes.
5/ Possibilité de prolonger la session en dernier recours, de maximum 4 mois et demi. Cette disposition est réservée aux étudiants en année diplômante. C’est une mesure sociale pour l’étudiant qui ne devra pas payer de nouveaux droits d’inscription.
6/ Concernant les stages, deux types doivent être distingués :
Stages traditionnels : le jury est invité à remplacer ou compléter le stage par des activités pédagogiques alternatives. Si ce n’est pas possible, report.
6bis/ Stages pour professions réglementées : il convient de maintenir/reprendre les stages en donnant priorité pour les lieux de stage encore accessibles aux étudiants en année diplômante. L’objectif est de ne pas retarder l’entrée des étudiants sur le marché du travail.
7/ Pour les TFE et mémoires, il est demandé aux promoteurs d’évaluer s’il est nécessaire d’adapter les objectifs de ces travaux puisque l’accès aux bibliothèques, laboratoires et salles informatiques a été limité et la collecte de données sur le terrain rendue plus complexe.