M : Alors Amélie, dis nous-en un peu plus sur toi.

On me décrit généralement comme petite (c’est vrai), bruyante (c’est vrai aussi) et rigolote (moyennement vrai). J’aime manger, l’Irlande et mon chat (et je le vis bien). Niveau études, avant de suivre un cursus en Relations Publiques à la HEAJ, j’étais en audiovisuel à l’IATA.

M : Qu’est-ce qui t’a le plus marqué à la HEAJ ?

La simplicité, la gentillesse et la disponibilité des professeurs. J’ai aimé le fait que l’on puisse apprendre autant de langues. D’ailleurs je remercie encore Madame Degrjise pour m’avoir fait comprendre une fois pour toute la grammaire anglaise. (Cœur avec les doigts)

M : Est-ce que quelque chose t’a particulièrement marqué à la HEAJ ? Pourquoi?

Une prof dont je tairai le nom… mais qui m’impressionnait tellement. Quel que soit le travail que j’avais à faire avec elle… je le ratais. Encore aujourd’hui, quand je dois placer une virgule, je suis en PLS, j’entends sa voix qui hante mes pensées!

M : Quelles sont les difficultés auxquelles tu as été confrontée durant tes études et après?

Je dirais mon manque de rigueur.
Heureusement ça se travaille. J’y travaille toujours d’ailleurs. Quoique je peux y travailler demain aussi…

M : Dirais-tu que la HEAJ t’a bien préparée au marché du travail?

Je dirais que quelle que soit l’école, c’est difficile d’être réellement préparée au marché de l’emploi. D’autant plus qu’une entreprise n’est pas une autre et qu’elles ne fonctionnent pas de la même manière.

C’est vrai qu’à l’époque (2009-2012), je trouvais qu’il manquait d’intervenants extérieurs, de personnes « du terrain ».

M : Où travailles-tu actuellement? Que fais-tu au quotidien?

Je travaille sur NRJ, dans la matinale du Réveil Duroy.

Chaque jour, nous faisons l’émission de 6h à 9h, ensuite nous nous réunissons de 9h30 à 10h30 pour déterminer l’émission du lendemain. Et puis jusque 14h30, je travaille sur le contenu de l’émission et sur les réseaux sociaux.

M : Est-ce que ton métier te plait? Quels sont ses atouts selon toi?

C’est clairement le job de rêve de bosser en radio. J’ai envie de dire : pourvu que ça dure !

Par contre se lever tôt, c’est dur… Il faut vraiment aimer ça. Mais du coup j’ai fini plus tôt que les autres et c’est assez cool.

M : Comment est Olivier Duroy au quotidien ?

Olivier c’est tout un programme. C’est une personnalité forte et un caractère. Il est touchant, gentil et puis des fois… il est pénible…(comme tout le monde quoi). Mais c’est aussi ce qui fait son succès : son côté authentique et vrai. Il m’a d’ailleurs appris que le mieux était d’être soi-même à l’antenne et je le porterai avec moi longtemps.

M: Comment te vois-tu dans 10 ans ?

Grande et blonde ? Dans un cottage en Irlande ? Mariée à Julien Doré ?

Non vraiment je ne sais pas. J’ai envie de dire toujours dans les médias mais je n’aime pas regarder au loin. Inch’Allah comme on dit.

M : Un conseil pour les étudiants actuels?

Les relations Publiques sont une porte ouverte sur plein de métiers différents. L’important, c’est de se sentir bien dans ce que l’on fait. Au début, c’est clair qu’on prend ce qu’il y a comme travail mais par la suite, on peut se diriger vers ce qui nous fait vibrer. Il suffit d’y croire et de ne pas se décourager.

M : Ton souvenir le plus marquant à la HEAJ?

Le premier qui me vient en tête était le Séminaire de crise. J’avais vraiment aimé sortir des murs et faire un peu de pratique.

M: Sur une échelle de 1 à 10, où tu te situerais en terme de bizarrerie?

12 (rires)

M : Décris-toi en 3 mots

Healthy lifestyle, sportive et aime les bébés chiens… ah non… ça c’est mon profil Tinder…

M : Et enfin, as-tu une devise?

« Nous sommes ce que nous choisissons d’être ». Ce n’est pas moi qui le dit c’est Spiderman.